L'analyse de la langue naturelle est toujours un problème ouvert au sens où il n'a pas à ce jour d'outils disponible resolvant ce problème (qui est pourtant fini si l'on considère que la longueur des phrases est bornées par la plus longue phrase de Proust). Certaines approches reposent sur des concepts théoriques avancés (automates, théorie des types, jusqu'à MELL ou IMELL dans certains articles). Est-ce la bonne approche ? Ou bien juste le fait que l'algorithme est trop complexe pour être écrit à la main ? On va montrer que dypgen (Emmanuel Onzon) permet d'aller assez loin, sans toutefois analyser le présent résumé, en utilisant juste une juxtaposition d'idées au dessus des techniques récentes de parsing pour les grammaires hors contexte. Note: je n'expliquerai pas ce qu'il y a sous le capot de dypgen ... Pour ça, il faudra inviter Emmanuel Onzon.